Mon Sieur Fabrice Luchini Mérite bien son nom en quatre… La noblesse de son talent Vaudrait sans doute le néant S’il n’avait transformé en prose Les Alexandrins d’autrefois Il aime ravager les cœurs Surtout le sien et quelquefois Il est une âme à la hauteur Qui lui extirpe son émoi Dans sa solitude profonde Qu’ilLire la suite « Si Luchini m’était conté … »