Quand une pause s’impose… vient le temps de la désunion
Quand les esprits se toisent à force de se résister
Les yeux sont aveuglés, empêchant « les sens/l’essence » de jouir
D’un côté, l’âme attend, patiente de nos heurts
Et de l’autre l’égo se contraint de « douleur/doux leurres »
Lourd de nos impatiences, fatigué du lutter
Le jour où tout est prêt, le cœur se fait silence
Les yeux s’ouvrent vraiment et dans l’acceptation
C’est un nouveau présent qui s’esquisse devant
On ne voit plus pareil et cette belle chance
Dont on rêvait sans fin, apparaît pour de bon
Quand on y croit vraiment, c’est en abandonnant
Que se transforme en « Vrai », ce qui semblait néant